Maison d’édition de l’auteur de best-sellers internationaux sur les listes du New York Times, L. Ron Hubbard

Le congrès de la liberté

Le congrès de la liberté

Le congrès de la liberté

Alors que seuls quelques mois s’étaient écoulés depuis son dernier congrès, celui-ci ne pouvait pas attendre. Ron l’appela Le congrès de la liberté parce qu’il commença un 4 juillet, jour de l’Indépendance américaine, et parce que ce congrès allait traiter de la libération par rapport aux confusions humaines. L’application des CCH, Contrôle, Communication, Avoir, en particulier, avait permis d’atteindre un niveau de gains de cas inégalé. Avec cela, un auditeur habile pouvait auditer un bébé d’un jour, une personne dans le coma, une personne complètement psychotique et plus important encore, une personne en parfait état. Il restait cependant un obstacle majeur : l’efficacité des CCH dépendait du cas et du niveau de ton de l’auditeur, du ton 40 en fait. Comment ces procédés pouvaient-ils être appliqués à grande échelle si chaque auditeur devait dans un premier temps faire progresser son propre cas jusqu’à l’état de Clair ? La réponse à cette question a révolutionné la formation et l’audition : les exercices d’entraînement (TR) de l’enseignement supérieur. Quant à ce qu’ils signifiaient pour chaque scientologue, bien plus que de simples exercices de perfectionnement pour auditeur, ils permettaient — littéralement — de créer un « Clair artificiel ». Et ce n’est que le début de ce que vous êtes sur le point d’entendre. Car quand les exercices d’entraînement de l’enseignement supérieur sont présentés sur l’estrade du Congrès de la liberté, cela a un effet du tonnerre ! Tout en haut de l’échelle des tons — à ton 40 — en direct et avec harcèlement ! Vous y découvrirez non seulement son agilité inégalable à accomplir les commandements, mais aussi son innénarable humour de coach, dans un congrès si vivant qu’il vous faudra vous rappeler qu’il ne s’agit pas que d’un divertissement !

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Informations supplémentaires Le congrès de la liberté

Nous allons tenir un congrès sans tarder.

Nous l’appellerons Le congrès de la liberté parce qu’il démarre le 4 juillet 1957 et parce qu’il traite de la façon de se libérer de la confusion humaine. — L. Ron Hubbard

C’est ainsi que L. Ron Hubbard présenta ce congrès dans l’édition de juin du magazine Ability. Et la date n’aurait pas pu être mieux choisie. Car ce qui était sur le point de se produire était une liberté que les pères fondateurs de l’Amérique qui avaient signé la déclaration d’indépendance en 1776 n’auraient pas pu imaginer.

L'urgence était telle que L. Ron Hubbard avait déjà donné deux congrès et deux cours d’instruction clinique avancée au cours des 6 mois précédents. Il revenait de Londres où il avait mis la touche finale à son dernier livre : Tout sur les radiations. Ce livre faisait les gros titres internationaux, traitant de la survie nationale dans le contexte du moment, mais sa recherche sur les radiations avait en fait fourni une découverte technique bien plus importante pour le futur et l’éternité : le Contrôle, la Communication et l’Avoir (CCH en anglais).

On ne saurait trop insister sur l’importance de ces procédés. Essentiellement, ils fournissaient le point d’entrée permettant de faire progresser tous les cas. C’est en se rendant compte à quel point l’homme moderne s’était dégradé que L. Ron Hubbard avait pu aboutir à cette découverte.

« Si auparavant nous pensions qu’une personne était à 10 % le thétan et à 90 % le corps, nous parlions probablement des gens qui entraient en Scientologie. Nous ne parlions pas du public en général. »

« Ce n’est pas 10 % / 90 %. Ce serait quelque chose comme un centième ou un millième pour cent thétan, et le reste corps et circuits. Il y a juste ce qu’il faut là pour donner de l’énergie à la machinerie. »

Et c’est là que réside le problème. Car, comme L. Ron Hubbard le décrira plus tard, avec si peu de thêta présent chez le préclair, l’efficacité des CCH dépendait grandement de l’auditeur :

« Cela dépend plutôt de votre aptitude à les amener à coopérer avec la bonne chose à faire, avec un niveau de ton suffisamment élevé afin qu’ils ne puissent pas par circuit interposé, y résister. »

Ainsi, en plus du savoir-faire de l’auditeur, ces procédés dépendaient en grande partie du niveau de ton de l’auditeur, de l’état de son propre cas. Ce n’était pas un problème nouveau, car la formation des auditeurs incluait depuis longtemps l’audition de leur propre cas avec les techniques les plus récentes. Dans les premières années, les auditeurs étaient parfois restimulés par les engrammes de leur préclair. Mais maintenant, avec les CCH — procédés si puissants qu’ils pouvaient résoudre n’importe quel cas — cette restimulation de l’auditeur atteignait un nouveau seuil. Comme L. Ron Hubbard l’avait compris, cette restimulation de l’auditeur l’empêchait réellement d’obtenir des résultats avec ses préclairs. En fait, auditer les CCH exigeait que le cas de l’auditeur soit à un très haut niveau — c’est-à-dire ton 40 — un Clair !

C’était là la difficulté : comment auditer suffisamment d’auditeurs jusqu’à l’état de Clair de sorte que cette technologie soit disponible à grande échelle ? Comme L. Ron Hubbard s’en rendit compte rapidement, ça ne pouvait pas être fait :

« Il faudrait commencer avec un ou deux ou trois. De temps en temps, des auditeurs m’avaient suggéré que j’audite quelqu’un jusqu’à l’état de Clair, puis que j’amène cette personne à en auditer deux autres, et alors chacune d’elles en auditerait deux et le tour serait joué. C’est bien, il n’y a rien qui cloche avec ce raisonnement, sauf que ça n’est pas réalisable ; ça ne marcherait pas. Avant d’avoir contacté ces quatre personnes, quelque chose aurait été perdu quelque part. »

Cependant, L. Ron Hubbard résolut le problème. Cette percée allait mettre la Scientologie sur une nouvelle voie et revitaliser de façon radicale la formation des auditeurs. Les exercices d’endoctrinement supérieurs (TRs):

« Il s’agit de treize niveaux d’aptitude qui se suivent et dont le produit est un auditeur qui agit comme un Clair.

« Ces niveaux de formation créent, lorsqu’ils sont minutieusement appliqués, un Clair synthétique, sans pour autant empêcher la personne de se faire auditer jusqu’à l’état de Clair. »

C’est ce que L. Ron Hubbard fit connaître lors du Congrès de la liberté. Et si l’hôtel Shoreham avait vu bien des congrès de Scientologie, rien ne pouvait égaler celui-ci, surtout quand L. Ron Hubbard monta sur scène et fit une démonstration du ton 40, une intention sans réserve. C’était là quelque chose qu’aucun scientologue n’avait encore jamais vu !

En effet, alors que L. Ron Hubbard avait travaillé depuis 1950 à perfectionner les procédures pour que chaque auditeur puisse obtenir les mêmes résultats lorsqu’il auditait, c’était là l’étape majeure pour réaliser ce but.

Donc, même si les Américains le célèbrent déjà depuis deux cents ans, le 4 juillet sera dorénavant et définitivement célébré aussi pour une autre raison. Car c’est le jour où L. Ron Hubbard a fourni les moyens de libérer chaque être de la Terre.

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